L’Association nationale pour le Droit au Savoir et à l’Insertion professionnelle des jeunes personnes handicapées, « Droit au Savoir », a été créée en décembre 2001. Aux 10 membres fondateurs (AFM, ANPEA, ANPEDA, APAJH, APF, CFPSAA, FSEF, GIHP, LMDE, UNAFAM) représentant tous les types de handicap pour promouvoir et soutenir la scolarisation au-delà de 16 ans et la formation professionnelle des jeunes en situation de handicap, se sont joints en quelques années 25 autres organisations.
Cet accroissement rapide exprime bien l’importance pour tous des questions et des enjeux de la scolarité au-delà de l’âge obligatoire et de la formation professionnelle jusqu’au premier emploi.
Aujourd’hui collectif de 35 organisations, tous handicaps confondus, Droit au Savoir est une association forte de particularités et de compétences complémentaires, capable d’être une force de proposition et un interlocuteur à la fois unique et pluriel auprès des institutionnels.
L’association nationale…
Au plan national Droit au Savoir regroupe 35 organisations, associations du secteur du handicap, fondations, ou mutuelles. Cette richesse permet une convergence des différents points de vue, une appréhension globale des difficultés à résoudre, et la capacité pour Droit au Savoir de parler au nom de tous d’une seule voix. Cet objectif semble d’ailleurs aujourd’hui atteint, puisque chaque fois qu’une question concerne les champs du handicap et relève des champs scolaires universitaires ou professionnels, les pouvoir publics sollicitent Droit au Savoir.
… et les pôles.
Au-delà de ce rôle, « Droit au Savoir » s’emploie à mailler le territoire avec les antennes, relais locaux des associations membres nationalement et/ou des associations locales gestionnaires ou non, qui partagent l’envie de faire avancer les revendications dans des pôles académiques. Ces pôles permettent d’essaimer les bonnes pratiques élaborées nationalement collégialement. Ils sont l’échelon d’évaluation de l’application des politiques publiques, le terrain d’expertise, et la garantie de l’égalité républicaine, ce qui devient une nécessité compte tenu des effets de la loi LRU, et de l’autonomie des établissements d’enseignement supérieur.
Les pôles peuvent être également avoir des structures gérants des services gestionnaires d’accompagnement des étudiants pour favoriser l’accessibilité pédagogique et la compensation du handicap.
Le GIAA Aquitaine participe au réunion locale de droit au savoir.